François Pralus est l’un des rares maîtres-chocolatiers français fabriquant de façon artisanale son propre chocolat, directement à partir des fèves de cacao. Il produit une vingtaine de crus pure origine et exporte ses chocolats dans le monde entier. Héritier d’une maison fondée à Roanne en 1948, il perpétue une recette à succès inventée par son père Meilleur ouvrier de France : la Praluline, une brioche rose délicieusement addictive qui fait courir les gourmands.

Disponible en ligne et en magasin

RDC de La Grande Epicerie de Paris Rive Gauche

01 44 39 81 00

1er étage de La Grande Epicerie de Paris Rive Droite

01 44 14 38 00

L'histoire

A l’origine de la saga gourmande de la maison Pralus, il y a Auguste, talentueux pâtissier qui s’installe en 1948 avec son épouse Noëlie rue de la République à Roanne. Le succès est immédiat : on s’arrache ses choux, on admire ses pièces en sucre, pas de dimanche ou de fête sans pâtisserie Pralus. En 1955, son talent est récompensé du titre de Meilleur ouvrier de France. Cette même année, il crée la fameuse Praluline, brioche aux pralines roses devenue l’emblème de la ville et même de la région.

Lorsqu’en 1988 son fils François reprend la pâtisserie familiale, il crée une manufacture de chocolat et devient l’un des rares chocolatiers français à produire tout son chocolat de la fève à la tablette. Vite reconnu par ses pairs, le maître-chocolatier décroche les récompenses, en France comme à l’étranger. En parallèle, François Pralus développe un réseau de boutiques où il produit sur place la spécialité familiale et déposée la Praluline, au côté de sa gamme de chocolats.

A l’origine de la saga gourmande de la maison Pralus, il y a Auguste, talentueux pâtissier qui s’installe en 1948 avec son épouse Noëlie rue de la République à Roanne. Le succès est immédiat : on s’arrache ses choux, on admire ses pièces en sucre, pas de dimanche ou de fête sans pâtisserie Pralus. En 1955, son talent est récompensé du titre de Meilleur ouvrier de France. Cette même année, il crée la fameuse Praluline, brioche aux pralines roses devenue l’emblème de la ville et même de la région.

Lorsqu’en 1988 son fils François reprend la pâtisserie familiale, il crée une manufacture de chocolat et devient l’un des rares chocolatiers français à produire tout son chocolat de la fève à la tablette. Vite reconnu par ses pairs, le maître-chocolatier décroche les récompenses, en France comme à l’étranger. En parallèle, François Pralus développe un réseau de boutiques où il produit sur place la spécialité familiale et déposée la Praluline, au côté de sa gamme de chocolats.

François Pralus

François Pralus est maître chocolatier, l’un des rares en France produisant son propre chocolat de la fève à la tablette.

Aventurier du chocolat, il parcourt le monde depuis maintenant trente ans à la recherche des meilleures fèves de chocolat. Cette passion l’a amené à créer sa propre plantation à Madagascar, sur l’île de Nosy Be.

Dans sa manufacture de Roanne, François Pralus produit une vingtaine de crus pure origine, une palette de saveurs révélées par le type de fèves et le terroir dont elles sont issues. La pyramide des Tropiques, un des produits phares de la maison, permet de découvrir les subtilités du chocolat, d’en goûter les nuances d’une origine à une autre. François Pralus est également le créateur de la Barres infernale, un lingot de chocolat fourré à partager.

Reconnue dans le monde de la gastronomie, la qualité de ses chocolats a séduit les plus grands chefs et chefs pâtissiers et lui a valu des récompenses dans le monde entier. Dernier en date : le titre d’Incontournable de la Tablette décerné par le Club des croqueurs de chocolat.

François Pralus a également créé, sur une idée de Vincent Ferniot, le Carré de Café, du café à croquer.

François Pralus est maître chocolatier, l’un des rares en France produisant son propre chocolat de la fève à la tablette.

Aventurier du chocolat, il parcourt le monde depuis maintenant trente ans à la recherche des meilleures fèves de chocolat. Cette passion l’a amené à créer sa propre plantation à Madagascar, sur l’île de Nosy Be.

Dans sa manufacture de Roanne, François Pralus produit une vingtaine de crus pure origine, une palette de saveurs révélées par le type de fèves et le terroir dont elles sont issues. La pyramide des Tropiques, un des produits phares de la maison, permet de découvrir les subtilités du chocolat, d’en goûter les nuances d’une origine à une autre. François Pralus est également le créateur de la Barres infernale, un lingot de chocolat fourré à partager.

Reconnue dans le monde de la gastronomie, la qualité de ses chocolats a séduit les plus grands chefs et chefs pâtissiers et lui a valu des récompenses dans le monde entier. Dernier en date : le titre d’Incontournable de la Tablette décerné par le Club des croqueurs de chocolat.

François Pralus a également créé, sur une idée de Vincent Ferniot, le Carré de Café, du café à croquer.

Rencontre avec François Pralus

Le vrai chocolat

François Pralus parle avec gourmandise du « vrai chocolat : comme pour les grands vins, on peut parler de crus de cacao », explique-t-il. Ces cacaos, choisis sur les plantations du Venezuela, d’Equateur, du Ghana, d’Indonésie, de Colombie ou de Madagascar sont torréfiés et raffinés à Roanne, selon le savoir-faire du maître-chocolatier, qui met en valeur les singularités de la fève et du terroir. A partir de fèves d’exception, François Pralus donne naissance à une vingtaine de purs crus à 75%. « Le Venezuela grade-up a un léger goût fumé, le trinitario classe supérieure est boisé, puissant et légèrement acide. Fin et acide, le cacao de Madagascar développe des arômes de fruits rouges ». De la fève à la tablette, François Pralus s’est forgé une belle réputation, récompensée notamment par le Club des croqueurs de chocolat.

François Pralus parle avec gourmandise du « vrai chocolat : comme pour les grands vins, on peut parler de crus de cacao », explique-t-il. Ces cacaos, choisis sur les plantations du Venezuela, d’Equateur, du Ghana, d’Indonésie, de Colombie ou de Madagascar sont torréfiés et raffinés à Roanne, selon le savoir-faire du maître-chocolatier, qui met en valeur les singularités de la fève et du terroir. A partir de fèves d’exception, François Pralus donne naissance à une vingtaine de purs crus à 75%. « Le Venezuela grade-up a un léger goût fumé, le trinitario classe supérieure est boisé, puissant et légèrement acide. Fin et acide, le cacao de Madagascar développe des arômes de fruits rouges ». De la fève à la tablette, François Pralus s’est forgé une belle réputation, récompensée notamment par le Club des croqueurs de chocolat.